Le Storyliving plus fort que le storytelling ?

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Présenter une marque, des produits ou des services en racontant une histoire adaptée aux attentes d’une audience, c’est ce que l’on appelle le storytelling. Si ces publications sont de plus en plus nombreuses, un outsider est bel et bien rentré dans la course du contenu : le storyliving. MYA vous en dit plus sur le mot buzzy du moment.

Storytelling et stroryliving : rappel des forces en présence

#Storytelling

Des définitions il y en a eu. Mais si nous devions en garder une, ce serait celle-ci : “le storytelling est une forme de communication basée sur la narration d’un récit visant à éveiller les émotions en racontant les produits ou services à travers des histoires qui portent les valeurs de l’entreprise”. Le storytelling n’est pas qu’une histoire de contenu et de digital, il existe (presque) depuis la nuit des temps du marketing et peut se décliner du packaging aux campagnes publicitaires avec comme objectif : établir un lien émotionnel fort. 

#Storyliving

Le storyliving est en quelque sort un storytelling 2.0 puisqu’il ambitionne d’impliquer les individus et de leur offrir une expérience mémorable. La mécanique est simple : en devenant acteur d’une histoire, le consommateur ne peut l’oublier et aura envie de la raconter. Et donnera infine à d’autres personnes envie d’y participer à leur tour et de vivre directement les valeurs de la marque.

Le storyliving une tendance portée par les millenials

Si ces formes de narration moderne ont en commun de permettent aux entreprises de communiquer différemment autour de leur image de marque auprès de leur public, le storyliving pousse le curseur un peu plus long. Et comme nombres de tendances émergentes en marketing, les millenials et la gen Z n’y sont pas pour rien.

Ces générations veulent plus que jamais vivre des expériences authentiques et unique. Plus que jamais le contenu devient une histoire de confiance. En engageant ce dialogue orienté vers la transparence , les marques vont pouvoir promouvoir une image plus humaine et donc augmenter le degré de confiance dans leurs produits.
Il suffit de regarder les Digital Native Vertical Brand (les DNVB) comprendre que cette réalité “virtuelle” n’a pas que pour objectif de vendre. Le storyliving favorise aussi la notion de partage, l’attachement à de vrais valeurs et l’engagement des internautes.

Storyliving et contenus : comment s’y prendre

Commencer par le commencement est tout simplement fondamental : pour capter l’attention des internautes sur la durée, il faut travailler au préalable son message et sa stratégie de contenus.
Storytelling ou storyliving, les questions à se poser sont les mêmes : quelle est la cible à atteindre (aka le fameux persona), quel support, quelle histoire (crédible et convaincante, non pas marketée). C’est grâce à ces pré-requis que l’on crée un contenu pertinent et qui a du sens pour l’internaute. Viens ensuite le choix de réaliser cette stratégie en interne ou de passer par une agence.

Chez MYA, nous avons la croyance : storytelling comme storyliving de qualité sont compatibles avec le SEO. C’est pour cela que nous éditions les histoires de nos clients en n’oubliant jamais, qu’au centre de celles-ci, se trouvent d’abord leurs propres clients. Nos outils et notre expérience nous permettent d’identifier quelles sont les requêtes et besoins des internautes. Car c’est à eux avant tout qu’il faut s’adresser. Sans ces derniers, pas de notoriété durable sur le net.